Asie et Amérique latine, les nouveaux moteurs de la révolution crypto

Pendant longtemps, la crypto a été dominée par les États-Unis, l’Europe et quelques hubs comme Singapour. Mais aujourd’hui, ce sont l’Asie et l’Amérique latine qui donnent le rythme. Ces deux régions deviennent les nouveaux laboratoires du Web3, portées par des besoins concrets, une jeunesse connectée, et des régulations qui bougent vite. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : en un an, l’Asie-Pacifique a vu ses volumes crypto exploser de +69 %. Et côté Amérique latine, c’est +42,5 %, sur la même période. Bref, le centre de gravité de la crypto est en train de changer.
Best Wallet, le portefeuille qui veut simplifier la crypto
Dans ce grand mouvement d’adoption, certains outils sortent du lot. C’est le cas de Best Wallet, une appli crypto qui veut rendre le Web3 simple, accessible et utile au quotidien. Son jeton $BEST est aussi en prévente, et le projet a déjà levé plus de 16 millions de dollars.
Avec Best Wallet , vous pouvez stocker, échanger, staker vos cryptos et même accéder à des préventes avant tout le monde. L’appli supporte plus de 60 blockchains, propose une carte pour payer en crypto, et mise sur la sécurité sans phrase de récupération. Un projet à suivre si vous cherchez un portefeuille moderne et complet dans cette nouvelle ère crypto.
Les cryptoactifs représentent un investissement risqué.
Adoption crypto en Asie : une croissance record de +69 %
L’Asie avance peut-être en silence, mais elle avance vite . En 12 mois, la zone Asie-Pacifique a enregistré près de 2 360 milliards $ de transactions crypto, contre 1 400 milliards l’année précédente (+69%). Ce sont des marchés comme l’Inde, le Vietnam, le Pakistan ou le Japon qui tirent cette croissance impressionnante .

Le cas du Japon est encore plus frappant. En assouplissant certaines règles fiscales et en clarifiant la régulation autour des tokens, le pays a vu son adoption doubler en un an. De plus en plus d’acteurs institutionnels s’y intéressent, pendant que les particuliers utilisent la crypto pour épargner ou investir. Le Japon est passé de suiveur à moteur.
Amérique latine : la crypto comme refuge face à l’inflation
Du côté de l’Amérique latine, la crypto prend une place differente : c’est souvent une solution contre l’inflation. Avec des économies instables, des monnaies qui s’effondrent et des frais bancaires élevés, les citoyens se tournent plus en plus vers les stablecoins et les plateformes d’échange.

Entre juillet 2023 et juin 2024, la région a reçu 415 milliards $ de cryptos, en grande majorité via des plateformes centralisées (CEX) ce qui représentent près de 69 % des volumes. Des pays comme l’Argentine, où l’inflation a dépassé les 100 % en 2023 , ou le Brésil voient la crypto comme un moyen de protéger leur épargne ou d’envoyer de l’argent à la famille. Dans ces zones, la crypto est un filet de sécurité contre les turbulences économiques.
Pourquoi l’Asie et l’Amérique latine dominent la révolution crypto
Si ces régions aiment autant la crypto, ce n’est pas un hasard. L’inflation et la chute des monnaies locales poussent les gens à chercher mieux, et les cryptos apparaissent comme une vraie alternative. Dans plusieurs pays en développement, des millions de personnes n’ont pas de compte en banque. Pour eux, la crypto, c’est souvent le seul moyen de mettre de l’argent de côté ou de payer à distance.
La jeunesse aussi joue un rôle clé : ultra-connectée, curieuse, elle s’empare vite de ces nouveaux outils. Et côté États, ça bouge aussi. Le Japon a clarifié les règles, le Brésil prépare une loi crypto, le Mexique réfléchit à la fiscalité. Bref, tout s’aligne pour faire de l’Asie et de l’Amérique latine des poids lourds du Web3.
L’Asie et l’Amérique latine ne sont plus à la traîne. Elles prennent même de l’avance, en faisant de la crypto une réponse locale à des problèmes globaux. Entre inflation, exclusion bancaire et soif d’indépendance financière, ces régions redessinent le futur du Web3. Et si les grands gagnants de la prochaine révolution crypto n’étaient ni à Wall Street, ni à Londres… mais à São Paulo, Mumbai ou Hanoi ?
Source : Chainalysis
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